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il y a 4 ans
LES VACANCES
Vendredi soir 18h, je pars du travail avec le sourire car je suis en vacances pour une semaine, je rejoins Lionel mon maitre pour passer la semaine chez lui.
Je m’appelle Enzo j’ai 30 ans, je suis grand 1,m93 châtain aux yeux bleu, une silhouette entretenue mais pas musclée pour autant. Lionel mon maitre est plus petit que moi, il a un corps d’athlète des pecs saillants, des abdos magnifiquement dessinés.
Tout le long du chemin j’imagine ma semaine de vacances avec mon maître, il est en télétravail donc on sera tous les deux à la maison. Je me vois bien allongé à côté de lui pendant qu'il bosse avec sa main qui me fait des grattouilles tout en tapotant sur son clavier.
Je rentre dans la maison il est au téléphone, je l’entends juste dire à son interlocuteur :
« Très bien lundi main 6h c’est parfait »
Il raccroche et je lui saute au coup pour l’embrasser et je lui demande :
« tu dois partir en déplacement lundi ? »
« non, pas moi » me réponds il.
J’imagine qu’il parle d’un collègue et ne pose pas plus de question.
Samedi matin 8h, mon maitre me réveille pour que l’on fasse du jardinage, tandis que nous sommes tous les deux dans le jardin, je lui explique que je suis heureux de passer la semaine avec lui. Il sourit, un petit sourire en coin qui ne laisse rien présager de bon pour moi.
La journée avance et nous rentrons, il me dit de me déshabiller et d’aller dans la douche.
Je m’exécute et l’attends sagement. Il arrive avec la tondeuse, le rasoir et une cage de chasteté, ça fait deux semaines que je ne porte plus ma cage, je me doutais bien que ça ne durerai pas. Il me rase proprement le sexe, pose ma cage et la ferme avec un cadenas, puis il me fait mettre à genoux pour me couper les cheveux, je me retrouve avec une coupe militaire dont il a le secret.
Dimanche matin, mon maitre me réveille et me dit de le rejoindre dans la cuisine pour le petit déjeuner, il a quelque chose à m’annoncer. Je descends encore pas très réveillé et m’installe à la table.
« J’ai bien réfléchis et je me suis dis que tu ne pouvais pas rester à la maison sans rien faire pendant toute une semaine. Vendredi j’ai eu un ami au téléphone qui peine à recruter du monde pour l’aider dans sa ferme donc tu vas y aller pendant trois jours. »
Je le regarde encore choqué de la nouvelle, moi qui me réjouissais de rester à la maison pour une semaine de repos bien mérité c’est foutu.
Il m’explique que j’ai rendez-vous lundi matin à 6h à la ferme de son ami, que je dormirai la bas et que je rentrerai mercredi soir à la maison.
Une fois le petit déjeuner avalé je fais la vaisselle et je vais préparer mes affaires pour mon début de semaine à la ferme. Mon sac enfin prêt je le mets dans la voiture, l’exploitation agricole est à 1h30 de route je devrai partir tôt demain matin. Le dimanche se déroule comme tous les autres nous profitons du canapé tous les deux entre câlins, jeux et télé.
JOUR J
Lundi matin je me lève sans bruit pour ne pas déranger mon maitre, je prends une douche et je m’habille. Je regarde une dernière fois le trajet puis j'avale mon café et en route.
Arrivé à la ferme un monsieur m’attends dans cour et m’indique où me garer, il fait encore sombre je me gare à coté d’un grand pickup et je descends rejoindre mon hôte.
« Bonjour monsieur je m’appelle Enzo, je viens de la part de Lionel pour vous aider quelques jours. »
« Bienvenue Enzo, moi c’est Serge c’est moi qui suis en charge de l’exploitation ici avec mes fils. Suis moi je vais te préparer pour le travail. »
« Je prends juste mes affaires dans la voiture et.. » Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’il se retourne vers moi et me dit d’un ton sec.
« Tu n’en aura pas besoin ici »
Je m’exécute donc et suis le chef de famille vers une salle éclairée avec des néons, il y a du carrelage blanc sur le sol et les murs, c’est éblouissant. Dans cette salle se trouve des machines et des tables en inox, il pose sur l’une d’entre elle une caisse en plastique et me dit :
- « Déshabilles toi et met tes affaires la dedans, ton téléphone, tes clefs de voiture tout. »
puis il tourne les talons et disparait dans une salle attenante.
Je commence à me déshabiller, je plie mes affaires et les dépose dans la caisse en plastique, je l’attends en là caleçon et chaussettes, j’imagine qu’il est parti chercher un salopette ou une blouse pour le travail. Je tiens mes mains devant mon caleçon pour cacher au maximum la bosse de la cage avec le cadenas. Il a beau être un amis de mon maitre je ne sais pas s’il est adepte de ces choses la.
Il revient enfin avec une autre caisse plastique dans les main, il la pose sur la table et me regarde de haut en bas et me dit :
« Enlève ton caleçon bâtard, c’est pas ta cage qui va me choquer. »
Me voila fixé, il est au courant de mon statut de soumis.
« Ton maitre t’a mis à ma disposition pour que tu travailles ici, tu seras traité comme tu le mérites c’est à dire en petit pisseux soumis qui porte des couches. »
Sur ces mots il sort de la nouvelle caisse plusieurs couches et inserts qu’il aligne au bord de la table. Je le vois fouiller au fond de la caisse et sortir des bracelets en cuirs, un collier en métal lourd, des cadenas. Il dispose tout sur la table aligné.
« Tu vas porter des couches pour éviter d’interrompre le travail pour aller aux toilettes, tu auras ce collier autour du cou et ces bracelets cadenassés à tes chevilles et poignets pour toute la durée de ton séjour ici. Je ne veux pas que tu oublis ton statut de bâtard, ici les seuls vrai mâles c’est moi et mes deux fils. Approche toi que je t’équipe. »
Sur ces mots je m’approche de lui, il se saisit de deux bracelets en cuir épais qu'il pose à mes chevilles, il les cadenasse aussi tôt posés, il continue et fait de même avec les bracelets des poignets. Arrive le moment ou il prend le collier en métal, il le pose autour de mon cou, le métal froid me donne un frisson il est très lourd, pour rajouter au poids il rajoute un gros cadenas qu’il verrouille.
« Bon passons aux couches, allonges toi » me dit il en désignant une des tables en inox du local.
Je m’exécute sans broncher, après tout j’ai l’habitude que mon maitre me traite ainsi, mais venant d’un étranger que je ne connaissait pas il y a dix minutes c’est déroutant. La table est dure et froide, il prend dans la caisse deux mousquetons qu’il attache entre mes bracelets de poignets et mon collier pour m’empêcher de bouger.
Il se saisit d’une couche blanche avec un extérieur en plastique qu’il déplie soigneusement, il rajoute deux inserts à l’intérieur et me soulève les fesses pour glisser la couche épaisse dessous. Il ajuste la position et ferme soigneusement la couche, je le vois se reculer et fouiller dans les poches dont il extrait un cutter, je ne suis pas rassuré mais d’un geste sur et rapide il entaille l’extérieur de la couche qu’il vient de me mettre. Après avoir rangé son cutter il déplie une nouvelle couche plus grande que la précédente et s’applique à me la mettre par dessus la première.
Je sens l’épaisseur du paquet entre mes cuisses, ça ne va pas être facile de marcher avec tout ça, moi qui aime les grosses couches épaisses me voila servi.
« Te voila paré pour toute envie pressante, pour éviter les fuites et que tu retires tes couches je vais quand même te mettre une culotte en latex »
Je reconnais la culotte, mon maitre utilise la même à la maison, elle se ferme avec des cadenas aux cuisses et à la taille, avec ça aucun risque que je puisse retirer mes protections sans les clefs. Serge finit d’ajuster les attaches de la culotte et ferme les cadenas, il détache mes mains de mon cou et m’aide à me mettre assis sur la table.
« En voila un pisseux tout mignon, je vais te donner des bottes et un tee shirt, et tu seras prêt à aller travailler.
Tandis qu’il retourne chercher le reste des affaires je me remets debout, je peine à marcher tellement il y a d’épaisseur entre mes jambes, c’est agréable et ridicule à la fois tellement c’est gros.
LES FILS
Derrière moi j’entends une porte s’ouvrir et deux personnes rentrent, ce sont les fils de serge Nicolas et Sylvain. Des jumeaux blondinet de 26 ans, grand et magnifiquement taillés ma queue se tend dans la cage, à ma vue ils s’arrêtent net et explosent de rire. Leur père revient au même moment en me tendant les bottes un tee-shirt blanc.
« Nico, Sylvain je vous présente Enzo, un petit soumis qui vient bosser ici quelques jours, il sera sous vos ordres, il n’a pas le droit d’utiliser les machines vous lui faites faire la merde qui prend du temps et ça ira bien. »
« Oui papa, t’en fait pas on va bien prendre soins de lui »
Serge esquisse un sourire
« Je vais bosser aux champs toute la journée, je ne rentre pas à midi, vous commencez par la traite et Enzo s’occupera de récurer l’étable. Je serai là sur le coup des 18h pour la traite du soir. »
Serge me jette un dernier regard et s’en va, pendant ce temps j’entends les deux jeunes chuchoter et ricaner. Nicolas s’approche de moi, il pose sa main sur l’avant de ma couche et tâte l’épaisseur du paquet, il sourit. Sylvain quand à lui reste un peu en retrait, je le vois se toucher l’entre jambe, j’imagine que ma situation le fait bander.
« Aller suis nous petite merde on va bosser » me dit Nicolas d’un ton enjoué.
Je le suis tant bien que mal avec mes couches qui m’empêchent de serrer les jambes, on se dirige à l’extérieur vers un grand bâtiment qui doit être l’étable. j’entends les vaches meugler, ça sent fort. Nicolas me pousse vers une barrière au bout du bâtiment.
« Met toi à genoux ici tu dois attendre la fin de la traite et qu’on ait sorti les bêtes avant de pouvoir travailler et je ne te veux pas dans mes pattes. »
Sylvain s’approche de moi et me demande de mettre mes mains dans le dos, il utilise un des mousquetons laissés par son père pour attacher mes poignets, il fait de même avec mes chevilles. Me voila à genoux, attaché et en couche à la merci de deux beau gosses qui savent y faire. Ma cage me fais horriblement mal tellement je bande, je les regarde parler aux vaches et les mettre en rang pour la traite.
Ce moment me paraît un éternité, je vois l’étable se vider peu à peu des vaches qu’elle contenait, je suis toujours à genoux devant cette barrière à attendre mon tour. Ma vessie commence à travailler et je me laisse aller à un gros pipi dans cette couche immense.
L’étable est enfin vidée des ses occupantes, les deux frères reviennent vers moi, Nicolas me libère des mes entraves et m’aide à me relever, Sylvain quant à lui est parti me chercher une pelle un balais et une raclette. Il m’explique ma tache, je dois nettoyer complètement l’étable, tout pousser dehors sur un gros tas ça doit être propre avant de remettre la nouvelle paille.
Je commence mon travail tandis que les deux garçons s’en vont à leurs activités, j’essaye de trouver la meilleure solution pour ne pas faire trop d’aller retour, je marche en canard à cause des couches.
De temps en temps l’un ou l’autre des fils passe pour surveiller l’avancement, Nicolas ne manque pas de me dire quand j’ai oublie de frotter un endroit, à l’inverse Sylvain est plus doux dans ses propos, il m’encourage me donne des conseils. Il passe aussi du temps à me regarder faire en glissant la main dans son pantalon pour se toucher.
J’ai enfin fini de ramasser la paille et les e x c ré m e n t s, je dois encore passer le jet et racler le sol dans un grand caniveau au milieu de l’étable.
Nicolas et Sylvain reviennent, ils inspectent le travail que j’ai fait. Sylvain annonce qu’il va s’occuper du repas et s’en va vers la maison. Je reste tout seul avec Nicolas. Il s’approche de moi et tâte l’avant de ma couche avec soin, puis il sort une corde de sa poche arrière en la passe dans un des anneaux du collier.
« Met toi à genoux salope » Il tient la corde tendu pour m’obliger à lever la tête vers lui, il ouvre sa braguette et baisse son pantalon. Je me retrouve nez à nez avec son joli boxer qui fait apparaître un bosse qui laisse imaginer la taille de sa queue.
« Ça te plait d’être soumis à de vrai mâles, tu aimes ça être humilié. Renifle ma queue, tu vois ça c’est pas une queue de bâtard enfermé dans une couche. Aller lève toi et retourne toi. »
Il tire sur mon collier pour me relever, il est désormais derrière moi, il tire sur l’arrière de la culotte en latex pour accéder à la couche je sens sa bite contre mon dos glisser à l’arrière de la couche. Un flot d’urine chaude coule le long de mon cul et rempli la couche.
« Mon père t’as mis une grosse, on peut t’aider à la remplir. » Je sens les derniers jets couler puis il se retire et remet son pantalon. je profite de la chaleur que je sens contre mes fesses, je n’ai qu’une envie c’est de me branler à travers la couche mais la douleur de la cage me rappelle que ça ne sert à rien d’y penser.
Nicolas tire sur la corde du collier comme s’il s’agissait d’une laisse et il me dit « met toi à quatre pattes comme un bon chien. » Puis il tire sur la laisse pour m’amener avec lui, mes genoux frottent contre le béton, il avance vite et je fais tout ce que je peu pour le suivre. Il me tire comme ça jusqu’à la maison qui est collée à la ferme. Je ne l’avais pas vu en arrivant il faisait encore sombre.
Sylvain a mis la table à l’extérieur, un table en bois avec un grand parasol. Nicolas dits de l’attendre à genoux au pied de la table puis il rejoint son frère dans la cuisine.
Je les entends rire et chuchoter, moi j’essaye de trouver une position pour poser mes genoux sans avoir mal à cause des cailloux de la cour. Le deux frère reviennent avec deux assiettes et s’installent à table.
Nicolas me fait signe de venir me mettre à coté de sa chaise et il me dit « Tu bouges pas de là, tu as le droit de te coucher mais tu restes sage. Tu sais on avait un chien quand on étaient gamins, il mangeait toujours après nous. Alors toi aussi comme un bon clebs tu vas attendre ton tour sagement. »
Le repas se passe, les deux frères discutent entre eux ignorant tout bonnement ma présence, je suis couché aux pieds de Nicolas, la pieds de parasol en béton me sert de repose tête.
Sylvain se lève et me fait une caresse dans les cheveux. « C’est un bon chien ça, il a mérité sa gamelle. »
Son frère explose de rire et se lève pour aller chercher une grosse gamelle de chien pleine à ras bord. Il la pose devant moi. Dans la gamelle il y a une sorte de bouillie de céréales, avec des morceaux de carotte et de pomme de terre. Nicolas me regarde. « Aller dépêche toi tu as intérêt de tout finir. Sylvain, va lui chercher sa gamelle d’eau. »
Je me remets à genoux et commence à renifler la gamelle et à manger, Sylvain me rapporte une deuxième gamelle pleine d’eau fraiche tandis que Nicolas me caresse la tête et le dos aussi naturellement que si j’étais son chien. Le deux frère boivent leur café pendant que je finis de lécher le fond de la gamelle. J’en profite pour boire beaucoup, je sens la chaleur de l’après midi arriver.
Sylvain s’approche de moi et me dit : « C’est bien ça tu as tout mangé, tu as pris des f o r c e s pour l’après midi. » puis il me grattouille le ventre et la nuque.
« Bon aller on s’y remet, on a encore pas mal de travail et Enzo n’a pas fini encore » clame Nicolas.
Sylvain me dit de me lever et nous repartons tous trois vers l’étable. Nicolas me dit de terminer de passer le jet et de tout racler, Sylvain quant à lui est parti démarrer le tracteur pour apporter la paille à remettre au sol.
J’essaye de tout racler le plus vite possible tandis que Sylvain commence a déposer des gros tas de paille là où j’ai fini de nettoyer, une fois fini il me donne une fourche et me dit de tout étaler au sol, il doit y en avoir partout. Puis il repart travailler avec son frère.
Entre la chaleur, la poussière et l'épaisseur de la couche je me traine j’avance lentement, je commence à avoir mal au ventre, et ma vessie se vide par petit jets régulièrement je n’aurai pas du boire toute la gamelle d’eau.
Au fur et à mesure de l’après midi je sens une crampe grandir dans mon ventre, je ne fais jamais caca dans mes couches, juste pipi. Mais les deux frères ne sont pas là, leur père non plus et je sens grandir l’envie quand tout d’un coup je n’ai rien pu retenir tout est sorti, la sensation n’est pas désagréable sur le moment mais l’odeur qui monte me rappelle vite pourquoi je ne fais que pipi dans mes couches.
Ne voyant personne je continue tant bien que mal mon travail, je sens me fesses coller à la couche et cette masse épaisse glisser à chacun de mes mouvements. Quand Nicolas vient voir ou j’en suis je m’avance vers lui honteux et lui explique que j’ai eu un accident et que ça ne m’arrive jamais. Il explose de rire et appelle son frère.
« Sylvain vient vite, sylvain !!! ça a marché ! Les laxatifs ont fait effet ! »
Je comprends que je me suis fais piégé par les deux frères, ils en ont surement mis dans la bouillie du midi.
Je demande à Nicolas si je peux changer ma couche et il répond sur un ton sec : « A quoi ça sert d’avoir une couche si c’est pour la changer dès que tu l’utilises ? De toute façon on a pas les clefs, papa les a mises dans son coffre fort et on y a pas accès. Donc tu attends qu’il rentre. »
L’après midi se déroule comme elle avait commencé, j’étale le foin dans l’étable en essayant de faire abstraction de l’odeur. Serge le père de famille arrive dans la cour de la ferme avec son tracteur, je suppose qu’il est 18h, je n’ai pas de montre et pas de téléphone portable donc aucune notion du temps qui passe.
Ses deux fils le rejoignent ils discutent, et rigolent entre eux puis Serge rentre dans l’étable et s’approche de moi.
« Alors Enzo tu as fini ton travail ? On ne va pas tarder à rentrer les bêtes pour la traite. Nicolas m’a expliqué qu’ils t’avaient joué un tour avec des laxatifs. » Il renifle dans l’air pour sentir l’odeur de ma couche.
Puis il reprend « Ils seront punis pour ça ils n’avaient pas le droit de jouer avec toi mais en revanche pour ton cas ça ne change rien, je t’ai mis une grosse épaisseur de couche pour ne pas avoir à t’en changer régulièrement donc tu la garderas jusqu’à demain matin quand je t’en mettrai une nouvelle pour la journée. »
A l’écoute de cette information je ne sais plus où me mettre, moi qui n’ai pas pour habitude de faire caca dans mes couches je me fais v i o l e n c e depuis le début d’après midi et je fais devoir tenir jusqu’à demain matin. La soirée et la nuit promettent d’être longues.
Mais je comprends à la tête de Serge que ça ne sert à rien d’essayer d’argumenter. Serge observe l’étable et me dit : « Pour une première fois ce n’est pas trop mal. on va rentrer les bêtes toi tu vas aller fendre du bois à l’extérieur. »
La soirée est douce Sylvain m’explique comment utiliser la fendeuse attelée derrière le tracteur. Il ne peut s’empêcher de regarder ma couche et pose une main devant pour tâter l’épaisseur, puis il regarde l’arrière et appuie avec ses mains en me disant : « ça ne doit pas être désagréable, tu vas t’y faire. aller met toi au travail moi je vais aider à la traite, à tout à l’heure petit chien. »
Il me fait un grand sourire et part en direction de l’étable. Il est mignon et attendrissant j’en arriverai presque à lui pardonner le coup des laxatifs, d’ailleurs je soupçonne que se soit l’idée de son frère. La traite est terminée et Serge vient éteindre la fendeuse, j’ai bien travaillé je suis content de moi, je me suis fait à l’odeur de la couche sale mais l’aspect contre mes fesses me dérange encore.
« Les gars sont partis se doucher » me dit Serge, « toi tu y auras le droit demain matin, maintenant tu vas mettre la table dehors pour qu’on puisse manger. »
Je m’exécute aussi tôt, l’idée d’un bon repas me fait envie après la bouillie du midi. Une fois les couverts dressés je reprends ma place de midi a genoux à coté du parasol. Sylvain me rejoint avec un gros tapis pour chien qu’il installe à coté de sa chaise. Il me dit de m’y installer. Je ne me fais pas prier je rêve d’un peu de confort. Une fois couché dans le panier je profite des caresses de Sylvain qui est assis sur sa chaise, son père prépare à manger, Nicolas nous a rejoint sans même prêter attention à ma présence il s’installe à sa place.
Même rituel qu’à midi, j’attends dans mon panier qu’ils mangent avant d’avoir ma gamelle.
Serge me l’apporte, la même bouillie qu’à midi avec des morceaux de viandes en plus, j’ai tellement fain que je ne fais pas le difficile. Je finis rapidement tout le contenu de ma gamelle de nourriture et ma gamelle d’eau. Puis je me recouche dans le panier afin de profiter des câlins de Sylvain. Nicolas finit de débarrasser la table et Serge se lève
« Sylvain tu t’occupes de coucher Enzo, Nicolas tu finis la vaisselle et au lit, demain on doit aller chercher des pièces pour le tracteur. Bonne nuit mes fils, à demain batard »
Sylvain se penche vers moi et chuchote : « Aller petit Enzo on va aller te montrer ton lit suit moi, tu as le droit de te lever »
Il ramasse le tapis au sol et m’accompagne vers le pickup à coté duquel je me suis garé en arrivant, il ouvre le hayon à l’arrière et laisse apparaitre une grosse cage de transport pour chien en métal, les barreaux ont été recouverts avec des plaques de bois en laissant juste le haut ouvert pour faire des aérations.
Après avoir ouvert la porte de la cage il installe le tapis au sol et me dit de grimper dedans. Je me hisse dans la cage et m’allonge, la cage est grande j’ai de la place. Sylvain me fait grattouilles sur le ventre il passe sa main sur le devant de ma couche et insiste un petit moment avant de me faire un bisous sur le front et de me souhaiter une bonne nuit. Il ferme la porte, j’entends un cadenas se fermer sur le métal de la cage puis le claquement du hayon.
Première journée terminée, mon cou me fait mal le collier est très lourd, ma couche remplit sa fonction pas une fuite malgré mes nombreux pipi et mon accident à cause des laxatifs.
Ma cage de chasteté quant à elle est douloureuse à porter pour mon plus grand malheur les caresses de Sylvain m’ont bien chauffé, j’essaye tant bien que mal de trouver une position agréable pour dormir dans cette cage et m’endors rapidement avec la fatigue de la journée.
JOUR 2
Le lendemain matin je suis réveillé par une envie pressante et un bruit de moteur, je sent que la cage bouge. Je me redresse pour essayer de voir par le haut des barreaux et je vois que le pickup roule et quitte la ferme il commence à faire jour, je ne sais pas quelle heure il est ni ce qu’il se passe. On roule un long moment je suis baladé de gauche à droite dans la cage, on arrive sur le parking d’un magasin, j’entends les portières claquer. Est-ce qu’ils ont oublié que j’étais là ? Je n’ai pas envie qu’on me voit dans cette tenue donc je me fais discret dans ma cage, je n’arrive plus à me retenir et urine dans ma couche déjà saturée, je sens l’urine couler dans la culotte en latex, ça y est c’est la fuite.
J’entends le hayon s’ouvrir, des gens parlent et chargent quelque chose à l’arrière, je reconnais la voix de Serge, le hayon claque et nous reprenons la route direction la ferme.
Une fois arrivés Serge ouvre le hayon et défait le cadenas de la cage et m’ouvre la porte.
« Alors petit bâtard, bien dormi ? ça pue la m e r d e dans cette cage, il est temps que tu ailles prendre une douche et qu’on te change. Les gars on voulu s’amuser hier en te mettant des laxatifs donc ils vont s’occuper de te changer et te laver. Sors de là et suis moi. »
Je me hisse hors de la cage, j’ai les jambes engourdies, la couche pèse lourd et se balance entre mes jambes sans la culotte en latex elle serait entrain de tomber. Nous retournons dans la pièce au carrelage du premier jour.
Sylvain nous attend dedans il est torse nu en survêtement de sport blanc, des baskets aux pieds il est super bandant. Son père me fait signe d’avancer vers lui et lui demande :
« Où est Nicolas ? »
« Il est parti faire des courses en ville »
« Très bien alors tu t’occupes de laver Enzo et de le mettre en couche pour la journée et je m’occupe de la punition de Nicolas, il assume pas de nettoyer sa connerie d’hier il va le regretter. Je vais aux champs on en reparle à mon retour. »
« T’en fais pas papa je m’occupe de Enzo »
Serge quitte la pièce énervé, Sylvain quant à lui me fait signe de m’approcher, il a des clefs dans les main, j’ai hâte qu’il retire cette couche sale. Je m’approche de Sylvain confiant et heureux d’avoir le droit à une douche, il a déjà tout prévu des chaines pendent du plafond il me demande d’enlever mon teeshirt et mes botes et de lever les mains qu’il attache aux chaines avec des mousquetons.
Je me retrouve ainsi sans défense devant lui les mains attachées en l’air il commence à retirer les cadenas des la culotte latex et la laisse glisser au sol, la couche ne tarde pas à suivre pas l’effet de la gravité.
L’odeur est forte, j’ai du c a c a jusqu’en bas du dos, Sylvain prend du recul, il revient avec un sac poubelle et met la couche dedans, il prend un jet d’arrosage et rince la culotte en latex avant de la poser sur la table puis il s’approche de moi.
-« Notre chien adorait qu’on le douche au jet d’eau, j’imagine que ça sera pareil pour toi ! Mais au cas ou je préfère te laisser attaché » il ricane et commence à régler le jet sur le sol avant de commencer à le pointer sur moi.
L’eau est froide et le jet est fort, Sylvain passe le jet sur tout on corps, il insiste sur ma cage de chasteté avant de passer derrière moi et de continuer a me laver, je sens le jet d’eau insister sur mes fesses pleines depuis la veille, à chaque mouvement du jet je sursaute, je grelotte.
Sylvain coupe le jet et commence à me savonner avec du gel douche, il commence par mes pieds et remonte jusqu’à mon entrejambe il insiste sur mes couilles et frotte la cage comme s’il me branlait, il passe ensuite à mes fesses et continue son ascension jusqu’à me savonner la tête et les cheveux. Vient le moment du rinçage il reprends le jet d’eau et me rince de la tête aux pieds en prenant son temps.
Enfin il coupe le jet d’eau et vient se placer devant moi, d’une main il caresse mes couilles et ma cage tandis que de l’autre il se frotte à travers son survêtement, je sens ma queue se serrer dans la cage tandis que Sylvain prend du plaisir. Il finit par éjaculer dans son caleçon avec un grand sourire de contentement.
Il me laisse là nu, les mains attachées au plafond, grelottant de froid et va dans la pièce d’à côté il en revient avec une grande serviette, il commence à me sécher en insistant toujours autant sur mes couilles et mon cul. Un fois sec il me détache et m’indique de m’allonger sur la table comme je l’ai fait la veille avec son père.
Même procédé, Sylvain attache mes poignets à mon collier et pose une première couche avec deux insert puis après l’avoir entaillée il la recouvre avec une couche plus grande avant d’enfiler la culotte en latex et de la verrouiller avec les cadenas.
Sylvain détache mes mains et me porte depuis la table pour me mettre debout sur le sol, il a une grande f o r c e, je rêverai de rester dans se bras musclés. Mais il en décide autrement et me retourne pour pencher mon torse sur la table.
« J’ai envie de pisser et mon frère m’a dit que tu faisais un bon urinoir alors à mon tour de remplir ta couche. »
Il joint le geste à la parole et rempli l’arrière de ma couche d’un long jet de pisse chaude je l’accompagne en remplissant à mon tour la couche, une fois fini il me relève et me tend mon teeshirts, des chaussettes et mes bottes afin que je m’habille.
« Fini te t’habiller et rejoint moi dehors à la fendeuse, tu vas continuer le bois aujourd’hui. » Sur ces mots Sylvain sort de la pièce et me laisse tout seul.
Je finis de m’habiller le plus vite possible et le rejoins afin de me mettre au travail. Tout comme hier je dois fendre les buches et les empiler sur un tas bien aligné. La matinée passe vite entrecoupée du passage des frères, Nicolas est revenu en milieu de matinée ils passent chacun leurs tour pour vérifier que j’avance bien. Le repas du midi se déroule comme la veille, la même bouillie infâme mais nourrissante cette fois sans laxatif, et retour au travail.
En milieu d’après midi les deux frères viennent me voir ils ont un chaîne entre les mains, ils m’expliquent devoir partir réparer une barrière dans un prés mais ils ne veulent pas me laisser seul donc je vais être enchainé au tracteur pour éviter que je m’éloigne.
Nicolas attaches mes chevilles entres elles avec une petite chaine qui limite grandement mes mouvements et il relie cette chaine à une plus grande qu’il cadenasse à un anneau sur le tracteur. Sylvain quant à lui me rapporte une gamelle d’eau qu’il met à l’ombre derrière la roue du tracteur.
« Au cas ou le petit chien aurai soif, mais pas de pause pour autant hein » il me fait un clin d’œil et vérifie la bonne fixation de la chaine posée par son frère avant de le rejoindre dans le pickUp.
Je continu tant bien que mal mon travail en faisant de petits pas à cause de la chaine et de la couche qui commence à être bien pleine.
Les deux frères reviennent suivi de prés par leur père, ils discutent tous les trois, je vois Sylvain rigoler tandis que Nicolas n’a pas l’air heureux. Serge et Nicolas s’en vont en direction de la pièce au carrelage, Sylvain me rejoint, il éteint la machine et détache la longue chaine qui me liait au tracteur mais laisse la chaine entre mes chevilles, il me caresse le ventre, me grattouille les cheveux, il est tendre avec moi. Il se penche a mon oreille et me dit :
« Tu te souviens ce matin papa a dit que Nicolas serait puni, il devait m’aider à te laver puisque c’est de notre faute si tu étais plein de merde, mais il a préféré aller en ville et me laisser tout seul. C’est le moment de sa punition et tu as le droit d’y assister alors tu me suis mais tu ne dis rien et tu restes sage. »
Nous nous dirigeons vers la salle blanche, je suis tout excité d’imaginer Nicolas ce mâle alpha se faire punir. Une fois dans la pièce je découvre Nicolas dans la même position que moi pour la douche de ce matin, il est tout nu les mains attachées au plafond et ne fait pas le fier.
Sylvain me fais mettre à genoux et attache mes mains dans mon dos qu’il relie à la chaine entre mes chevilles je ne peux plus bouger d’un pouce puis il rejoint son père qui fait face à Nicolas.
Serge me regarde et se retourne vers ses fils
« Hier vous avez voulu jouer avec Enzo en lui mettant des laxatifs dans sa nourriture, vous savez que je n’approuve pas mais passons, je vous ai demandé de nettoyer vos bêtises c’est dire de laver Enzo et lui mettre ses couches propres pour la journée, mais Nico tu as préféré laisser ton frère tout seul et te barrer en ville, donc j’y ai réfléchis et j’ai choisi ta punition. Tu porteras une cage de chasteté pendant deux semaines et ton frère a décidé que tu devais aussi porter une couche jusqu’à demain. » Nicolas fait la moue mais ne dit mot.
Son père ne se fait pas attendre et s’occupe de mettre la queue de son fils en cage avant de verrouiller avec une cadenas et un plomb en plastique numéroté. Après lui avoir mis une claque sur les fesses Serge détache Nicolas et le tire vers une des tables pour l’allonger.
Sylvain l’attend avec une grosse couche épaisse avec des motifs enfantins dans les mains. Il soulève les jambes de son frère et referme la couche sur son joli petit cul et sa queue en cage. Nicolas se lève de la table mais Sylvain le stop net.
« C’est pas fini, interdiction d’enlever la couche sans mon accord, même si elle fuit, tu me demandes si veux faire caca et je déciderai si tu as le droit de l’enlever et si j’ai envie je t’en remets une propre. Ah et j’ai envie de pisser alors penche toi sur la table. »
Nicolas grimace mais Sylvain le pousse et enfile sa bite à l’arrière de la couche pour vider sa vessie, je n’en rate pas une miette je jubile tout seul dans mon coin. Une fois la punition terminée Nicolas rentre à la maison suivi de son père, Sylvain remonte son survêtement et vient me rejoindre.
« Alors mon petit chien ça t’a plu ? Il faisait moins le fier hein. On va aller faire un petit tour pour te dégourdir les jambes pendant que Nicolas prépare le diner. Après tout un grand chien comme toi ça à besoin de bouger un peu. »
Sylvain me détache et m’aide à me relever, il défait la chaine qui m’entravait les chevilles, mais me laisse les mains attachées dans le dos puis il va chercher des affaires qu’il met dans un sac à dos et prend une laisse en cuir qu’il attache à mon collier et me tire vers l’extérieur.
Il m’emmène sur un petit chemin de terre, je marche en canard à cause de la couche mais ça fait du bien de pouvoir marcher et de voir autre chose que la ferme. Après 10 minutes de marche il s’arrête et fouille dans son sac à dos il en sort des genouillères qu’il enfile sur mes jambes, puis il sort une cagoule de chien qu’il met sur ma tête et me détache les mains.
« Un chien ça marche à quatre pattes, alors met toi en position et on continu la balade »
Je m’exécute et nous continuons d’avancer, Sylvain adapte son rythme au miens, je sens mes bras fatiguer, je commence à ralentir la marche et Sylvain s’en rend compte. Il se met à genoux a coté de moi et me fait des caresses.
« Il est tout fatigué le chien, mais je suis fier de toi, tu es un bon toutou, j’ai discuté avec mon père parce que j’aimerai bien t’adopter mais tu as déjà un maitre. Peut être qu’on pourra trouver un arrangement pour que tu viennes nous rendre visite plus souvent. Peut être pas pour travailler mais en tant que mon clebs. On pourrais se balader, faire des grattouilles, des caresses…. »
En entendant ces mots mon cerveau imagine toutes ces scènes avec le beau Sylvain je suis tout excité et ma cage me rappelle à l’ordre très vite.
Sylvain retire la cagoule de ma tête en la remet dans le sac, il me met à genoux et attache à nouveau mes mains dans le dos.
« J’ai vu que tu appréciais mes caresses ce matin malgré ta cage, et tu n’as pas arrêté de me mater dans mon survêtement. Tu as envie de gouter à la queue d’un vrai mâle ? »
Sylvain baisse son survêtement et son caleçon pour laisser apparaître sa magnifique bite toute raide, et sans que j’ai le temps de faire quoique ce soit il me l’enfourne dans la bouche, je suce goulument sa queue, il attrape ma tête et fait des va-et-vient de plus en plus rapide avant d’éjaculer au fond de ma gorge. Je finis de nettoyer sa queue il se décalotte pour que je puisse lécher partout pour bien la laver. Une fois fini il m’indique qu’il a besoin de son urinoir pour se vider. il me soulève et cette fois passe sa queue à l’avant de ma couche pour vider sa vessie, il en profite pour m’embrasser tout en urinant dans ma couche.
Après avoir remonté son caleçon et son survêtement, il me tire en direction de la maison. Arrivé dans la cour, Nicolas et Serge nous attendent à table, je m’installe aux pieds de Sylvain et attend qu’ils aient fini de manger pour avoir ma gamelle. Quand vient mon tour, sylvain me détache les mains et pendant que je finis de manger les trois hommes boivent un digestif, je remarque Nicolas qui s’agite sur sa chaise, surement à cause de la couche.
Comme la veille c’est Serge qui sonne l’heure d’aller se coucher, Sylvain s’occupe à nouveau de me mettre dans ma cage pour la nuit pendant que Nicolas fais la vaisselle. Avant de fermer la porte de la cage, Sylvain enlève son survêtement et retire son boxer avant de me le mettre sous le nez.
« Comme ça tu auras mon odeur avec toi pour t’endormir , en plus c’est celui dans lequel j’ai joui ce matin en te lavant alors profites en bien. »
Il retourne le boxer pour me montrer une trace de sperme séché et me l’enfonce dans la bouche comme un baillon. Puis il claque la porte et la verrouille avec le cadenas et finit par fermer le hayon du pick-up.
Je retire le boxer de ma bouche et le renifle je me mets en boule dans la cage et m’endors avec un doudou très agréable et rempli de souvenirs de la journée.
DERNIER JOUR
Ce matin c’est Nicolas qui vient me réveiller, il ouvre la porte de la cage, et me fait une caresse et me gratouille le ventre, il est différent des autres jours, je remarque la bosse dans son pantalon qui laisse imaginer l’épaisseur d’une couche. Sa punition à l’air de fonctionner, dommage je l’aimais en mâle alpha sévère mais il sait y faire quand il s’agit d’être gentil.
Je sors de la cage il me dit qu’il doit me changer pour la journée, il me demande si j’ai fait caca dans ma couche, je lui réponds non en hochant la tête. Ma couche est pleine de pisse mais rien de plus. Je le suis jusqu’à la salle blanche ou il retire ma culotte en latex attache mes mains à mon collier et m’installe sur la table pour enlever mes couches. Ces gestes sont assurés, il semble avoir autant de f o r c e que son frère car il soulève mes jambes d’une main pour retirer la couche. Il prend ensuite des lingettes et me entreprends de me nettoyer, à l’inverse de son frère il n’insiste pas sur mes couilles ni mon cul.
Après avoir mis en place les nouvelles couches et la culotte en latex, il me prend dans ses bras et me porte jusqu’au sol.
« C’est ton dernier jour ici, Papa a décidé de t’amener aux champs avec lui pour finir une clôture. Enfile tes chaussette et tes bottes et va l’attendre à genoux à côté du pickup. »
Un fois habillé je vais me placer à côté du pickup, Sylvain sort de la maison, il vient à mes cotés pour me faire une caresse que je lui rends en faisant une léchouille sur la main qui lui décroche un joli sourire puis il va s’occuper de la traite des vaches avec son frère. Serge ne tarde pas à me rejoindre, il ouvre la cage qui est sur le pont du pickup et me fait signe de monter dedans, il claque la porte derrière moi.
Il charge du matériel à côté de la cage et ferme le hayon. Le moteur démarre et nous prenons la route. Arrivé au champs je suis libéré de ma cage mais Serge attache mes chevilles et mes poignets avec des chaines courtes qui limites mes mouvements.
Je dois l’aider à porter du matériel, je le suis chargé comme une mule, la matinée passe lentement, je bouge lentement et ça à l’air d’amuser Serge.
C’est midi l’heure de rentrer à la ferme, Serge attache mes mains dans mon dos et me charge dans la cage. Je profite du trajet pour renifler le boxer de sylvain que j’avais laissé dans la cage.
Arrivé à la ferme il se gare et sort rejoindre ses fils à table, quand à moi je suis toujours dans la cage. Il commence faire chaud en plein soleil je m’allonge et attends sagement qu’on vienne me libérer. C’est Serge qui ouvre la porte et dépose une gamelle d’eau et une autre de nourriture avant de fermer la porte et de la cadenasser. Avant de partir il tape sur la cage et me dit :
« Je n’ai pas besoin de toi pour le moment alors tu mage et tu reste sage ici à m’attendre. »
Mes mains attachées dans le dos et la taille de la cage ne m’aide pas pour manger, j’essaye de trouver une position pour réussir à manger une fois fini je m’allonge et attends sagement comme me l’a demandé Serge.
LE DEPART
Je me suis endormi, Serge me réveille avec un seau d’eau qui inonde la cage, il me tire en dehors et me traine jusqu’à la salle blanche. Il détache mes mains pour les fixer aux chaines du plafond, il retire la culotte en latex, mes couches, mes bottes et chaussettes.
« Il est 16 heures, c’est l’heure de te préparer à partir, alors une bonne douche et je te prépare pour rentrer voir ton maitre. »
Serge se saisit du jet d’eau et me lave il est beaucoup moins doux que Sylvain, il me savonne sommairement et me rince, après m’avoir détaché il me jette une serviette et me dit de me sécher et de l’attendre sur la table.
Je m’exécute, et vais m’allonger sur la table. Il revient avec des clefs, il enlève mes bracelets aux chevilles et au poignets et enfin mon collier, la sensation est étrange je m’y étais presque habitué à la lourdeur de ce dernier.
Serge se saisit d’une couche avec des pattes de chiens dessus, il y ajoute un insert et ferme la couche sur moi. il me tend des chaussettes blanches et mes chaussures ainsi qu’un teeshirt sale, je reconnais le tee shirt que portais Sylvain ces deux derniers jours.
« Sylvain m’a dit que ça te ferait plaisir, il t'a aussi préparé un sac pour que tu n’oublies pas, c’est ce qu’il m’a dit de te dire. » Il me tend un sac plastique dans lequel se trouve le survêtement blanc de Sylvain, j’y vois aussi deux boxer dont un blanc qui à l’air jaunit.
Je me retiens de les sniffer. Serge observe ma réaction avec un petit sourire.
« Le gars sont partis emmener les vaches dans un nouveau prés donc tu ne les verras pas avant de partir, mais ils ont voulu te laisser une surprise. »
Serge se saisit d’une bouteille plastique pleine d’urine et s’approche de moi pour la verser dans ma couche. L’urine est froide la sensation n’est pas agréable. Mais leur attention me fait très plaisir même si j’aurai aimé qu’ils soient là.
« Nicolas n’a plus de couches depuis ce midi, son frère l'a libéré mais il gardera sa cage comme punition. Je crois que tu as beaucoup plu à Sylvain, il veut que tu deviennes son chien, j’en ai parlé à ton maitre, je pense qu’on sera amené à se revoir, peut être pas pour m’aider au champs mais tu as l’air pas mal comme chien de famille non plus. »
Sur ces mots Serge me tend un autre sac dans lequel il a mis mes affaires, et il m’accompagne à ma voiture, je suis en couche avec le teeshirt de sylvain et mes chaussures pour rentrer chez mon maitre.
Sur la route du retour je m’arrête pour inspecter le sac que m’a préparé Sylvain, son survêtement porte son odeur le premier boxer aussi il porte des taches de spermes quant au boxer blanc qui est jauni c’est un boxer plein de pisse séchée, je ne peux m’empêcher de renifler ses affaires, j’aime son odeur et ça me rend fou.
Arrivé chez mon maitre, je le remercie pour cette expérience, il m’explique qu’il a reçu des photos de mon séjour et qu’il a discuté avec Serge, qu’ils vont trouver un accord pour que je puisse rendre visite à Sylvain, Nicolas et Serge régulièrement.
Dans mon lit il y désormais des doudous avec l’odeur de Sylvain contre lesquels je m’endors chaque nuit.
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